Il s’agit de bâtir de nouvelles façons de vivre, autonomes et solidaires, dans des édifices autogènes en énergie, intégrés à l’environnement. Je fais des maisons bioclimatiques depuis 1983. À cette époque, on se moquait du « retour à la bougie ». Une architecture bioclimatique se déploie dans l’espace et le temps. J’observe les formes de la Nature, leur morphogenèse. Une architecture engendre une émotion. Je cherche la commune mesure entre la musique et l’architecture, entre les rythmes et les analogies.
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